Histoire

Oujda fut fondée par Ziri Ibn Attia, chef zénète de la tribu de Maghraoua vers 994 au centre de la plaine des Angads bordée par une des plus belles régions montagneuses du Maroc : les beni-Isnassen. Cette situation géographique privilégiée fait d’elle un carrefour entre le Maroc et les autres pays du Maghreb et d’Afrique du nord d’une part et entre le Maroc et l'Europe via Nador d’autre part. Elle demeura pendant 80 ans le siège de la dynastie de son fondateur, puis passa ensuite au pouvoir des Almoravides puis à celui des Almohades qui élevèrent une nouvelle fortification. Après la destruction de la ville en 1271 par le Sultan Abou Yaacoub Elmarini (Mérinide), son fils Abou Youssef entreprit la relève en 1325, reconstruisant ainsi une casbah, un Palais, une Mosquée, des bains et enfin réussit à lui donner une certaine prospérité. La légende dit qu'elle est la ville de 360 portes qui s'étendait de l'ouest de Tairet aux rives d'Isly, avec une infinité de quartiers dont on retrouve toujours les restes. Moulay Ismaïl, Grand Sultan alaouite, procéda à partir de 1673 à la restauration et l'organisation de la ville et sa région. À travers son histoire, les péripéties qu'a connu Oujda, furent celles d'une ville frontalière passant d'un pouvoir à l'autre selon la fortune des armes (Oujda est située aux frontières de l'Algérie) et aussi ville relais sur la voie Sijilmassa-Orient. Après qu'elle eut été occupée par la France le 29 mars 1907, Oujda, fidèle au Trône Alaouite, contribua efficacement à la lutte pour l'indépendance du Maroc.

Économie

Oujda, ville millénaire dont les possibilités économiques auxquelles s'ajoute sa position géographique privilégiée constituent un atout pour sa prospérité et son progrès, a une vocation touristique excellente, du fait qu'elle possède aussi des communications rapides tant avec l'Europe qu'avec le Maghreb et les autres régions du Maroc. La capitale de l'Oriental, chef lieu d'une région, disposant d'un certain nombre d'atouts naturels, et favorable pour le développement du tourisme, se caractérise par la plage de Saidïa longue de 14 km de sable fin et doré. La montagne de Béni-Snassen présente un beau paysage naturel qui forme la vallée de Zegzel, gorges, chutes d'eau, grottes, etc. À 6 km d'Oujda, l'Oasis de Sidi Yahya offre un site particulièrement agréable. Ce site qui englobe un souk les vendredis matin. Oasis de verdure, la capitale du Maroc Oriental située à 450 m d'altitude offre la variété de sa végétation, palmiers, eucalyptus, mimosas, lilas, un enchantement pour les sens. La ville moderne, coquette et riante possède de belles et larges avenues qu'agrémentent les parterres de fleurs et des bassins. Quant à la médina, impressionnante par son aspect, elle demeure strictement traditionnelle. Le visiteur attentif est appelé donc à suivre, à l'aller, l'itinéraire suivant : Bab El Gherbi, Kasbah, 3 fontaines, Grande mosquée Bab Sidi Abdelouahab, Rempart Dar Essebti, Parc Lala Aïcha, Oasis Sidi Yahya Ben Younes, et au retour : Dar Lamhalla, Avenue des Riads, Place El Attarines, Souk El Maa, Derb El Mazouzi. Son attention sera retenue aussi par son Kissariat où le tapis et les étoffes chatoyantes, objets de cuir brodé et de cuivre ciselé artistement, l'émerveilleront. Oujda c'est aussi l'Université Mohammed Ier, fondée en 1980, située au quartier El Qods au sud de la ville. La ville possède d'autre part un aéroport international « Aéroport Angad » situé au Nord, à 10 km, qui relie Oujda à plusieurs villes du Maroc et d'Europe occidentale. Oujda est reliée par chemin de fer à l'est à l'Algérie (la ligne est actuellement fermée depuis 1994), à l'ouest à Fès, Rabat, Casablanca, etc., et au sud à Bouarfa.

Oujda, place stratégique

Oujda était une ville étape entre la Côte Méditerranéenne et Figuig, et entre l’Algérie et les principales villes Marocaines, du Nord au sud. Cette position nodale à 17 km de la frontière Algérienne et 52 Km de la Méditerranée, fut à l’origine de mutations profondes aussi bien de la société, de la culture et de l’économie de la ville d’Oujda. Historiquement, Oujda a longtemps été la porte du commerce avec l’Algérie. L’ouverture de la frontière de 1989 à 1994 a créé une grande activité économique et la création d’infrastructures industrielles, commerciales et de services dans la région. Aujourd'hui la région est appellée à jouer un rôle important grace au tourisme notemment avec la création du grand pôle touristique à Saidia plage (56 Km au Nord d'Oujda),le dedoublement de la voie Oujda Saidia,le lancement des travaux de l'autoroute Oujda Fes ( qui sera prete en 2010),l'extension prévue de l'Aeroport d'Oujda-Angad (ajout d'une piste et creation d'un pôle arrivée et d'un pôle depart),la construction d'Hotels,la mise à niveau des voies et boulevards de la ville,l'amenagement de la médina,etc...

Les zones industrielles

La ville est dotée d’un tissu industriel embryonnaire : Zone industrielle (boulevard Mohamed V) avec une superficie de 48 Ha + 7 Ha d'extension et avec 144 lots industriels. Zone indutrielle Al Boustane II avec une superficie de 100 Ha, 81 lots industriels et 147 lots dans la zone d'activité économique. Les locaux professionnels : 65 lots avec différentes superficies (20 < 40 m²/20 < 80 m²/I5 < 160 m²/10 < 240 m²), où se sont implantées de nombreuses usines (matériaux de construction, conserveries, minoterie, laiterie, unités de conditionnement, produits chimiques…). Oujda cumule une large gamme de fonctions certaines dominantes et d’autres secondaires, qui en font une capitale régionale incontestables. Pôle tertiaire, elle renferme un équipement commercial grossiste, un appareil administratif étoffé (chef lieu de wilaya de région, délégations régionales de ministères) et des services rares, en particulier des professions libérales : architectes, médecins spécialistes, notaires, experts-comptables… Dans la nouvelle médina, les commerces d’articles d’Algerie (souk El Fellah, dont l’appellation évoque les magasins d’Etats dans les villes d’Algérie) et de Melilla (souk Melilla) attirent la clientèle locale ainsi que les visiteurs. Le nombre élevé d’agences bancaires, plus d’une trentaine, y est lié à la fonction de refuge des capitaux des MRE (Marocains Résidents à l'Etranger) originaires de la ville et de sa région.

L'enseignement à Oujda

La ville d'Oujda dispose de L’Université Mohammed Premier (l’UMP) qui a été créée en 1978. Elle comporte de cinq établissements d’enseignement supérieur (trois facultés et trois écoles) : Faculté des Lettres et des Sciences Humaines d'Oujda, F.L.S.H. Faculté des Sciences, F.S. Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales F.S.J.E.S. École Supérieure de Technologie à Oujda, E.S.T. École Nationale des Sciences Appliquées, E.N.S.A. École Nationale de Commerce et de Gestion E.N.C.G. En fin 2006 les travaux de construction d'une faculté de medecine et de pharmacie avec CHU ont débuté dans le quartier Al Qods.

Quatre portes principales donnaient accès dans l’agglomération

Bab Sidi Abdelouahab porte ogivale encadrée de deux bastions au dessus de laquelle le Maghzen faisait accrocher les têtes coupées des rebelles d’où son nom de « porte de tête ». Au nord : Bab El Khemis. La médina comprenait neuf quartiers aux différents fractions de la population oujda : ( achegfane – ahl oujda – oulad amrane – ahl el jamel – oulad el gadi – oulad aîssa – le mellah). Al'est se trouve la porte "Bab'Al gharbi,à l'est Bab Oulad Amran qui donne sur la rue de Marrakech. La médina comprenait aussi le quartier des marchés ( commerçant et ratissant) et le quartier de la casbah ( bureaux du maghzen). Près de la porte Bab Sidi Abdelouahab, un souk hebdomadaire "marché" se tenait chaque jeudi sur une place à l'exterieur des murailles de la medina , cinq fondouk ou hôtels trois mosquées Djamaâ El Kebir , Djamaâ Heddada , Djamaa Sidi Okba) une medersa ou collège, trois synagogues. Dans les jardins, irrigués par des séguia, alimentés par les sources de Sidi Yahia Benyounes , les gens d’Oujda faisaient des cultures maraîchères. Pour des motifs de sécurité, le camp militaire français s’installe sur une butte (572m) qui à 900 mètre au sud dominait la médina. Vers 1920, des constructions d’intérêt communs apparaissent : un marché couvert arabe sur la place de Bab Sidi Abdelouahab ; des abattoirs près de le Kasba ; l’immeuble du trèsor ; le Tribunal de première instance ; le lycée des garçons et l’ancien collège des jeunes filles. En 1910, la voie normale des chemins de fer était prolongée de Marnia d’Algérie jusqu’à Oujda. Pour des raisons d’ordre technique, la gare fut construite à trois kilomètres au nord de la médina.(village koulouche) vers 1920, apparaissaient des constructions d’intérêt commun : un marché couvert arabe sur la place abdelouahab, un abattoirs prés de la kasbah, l’immeuble du trèsor, le tribunal de première instance, le lycée de garçon et l’ancien collège de jeunes filles.

Les anciennes familles de la ville

Dans la période pré-coloniale, la population d’Oujda était formée de groupes d’origines variés. En 1907 déjà, la diversité de ses origines était très grandes. On distinguait d’après Voinot : Les Oulad Amran , les Achegfane, les Ahel Oujda, les Oulad el Gadi, les Ahel Djamel, Les Oulad Aîssa et la grande famille habbal qui existe jusque là. Ces septs groupes avaient donné leur nom aux septs quartiers d’Oujda. Chacun d’eux aurait été lui-même constitué par les éléments de provenances diverses. Les Oulad Amran se subdivisent en : Chekarna : sont chorfa (celui qui descend du prophète par Fatima) et seraient par les uns du ksar Oudaghir de Figuig, d’après les autres de Nédroma (Algérie). Oulad Moulay et Abbes : également chorfa auraient abandonné la région de Tlemcen au XVIe sciècle pour fuir la domination turque. Chouazi ou Oulad Ghazi : seraient originaires soit Tafilalet, soit des Beni-Snassen. Tlemçaniines seraient arrivés à Oujda vers la même époque que Moulay Abbès. Les Achegfane auraient de origines extrêmement variées allant des Beni-Snassen au Tafilalet en passant par Tlemcen et Figuig. Les Chorfa de Beni Reiss (kser de bni ryass) dont les familles : Bellafdil, Belaarbi. le kser est situé a 6 KM de la ville de DEBDOU. Les Ahel Oujda sont formés par deux groupes peu nombreux : El Bequia, qui signifie le reste, est composé des Oulad Menni, Oulad Mohamed ben Larbi et Oulad el Moul ; il serait le dernier vestige de l’antiquité population pré-islamique qui aurait occupé la ville au temps du Sultan légendaire El Ablak el Fortas. El Kouarda comprend principalment des gens originaires de Kouarda, et peut être aussi quelque Beni-Snous et Beni-Bousaiid (Algérie). Les Ouladd el Gadi sont très mélangés ; cette fraction est constituée par les Arabes et les Berbères venus d’un peu partout. On y trouve, entre autres, des Beni-Snassen, des Cherada, des Beni Bou Said ainsi que des gens de Zouî et Aira près de Nemours. Les Ahel el Djamel ont des origines diverses tout comme les précédents ; les Ouled Bou Kais viendraient du Ksar du même nom (Sud Oranais) ; les Ouled El Khaled des Beni-Snassen, les Ouled Chamma de Tlemcen, les Ouled Filali du Tafilalet. Les Oulad Aissa se divisent en Oulad El Mir et Oulad Aissa. Les premiers sont originaires des Beni Mimoun, chez les Beni-Mengouche, Beni-Snassen , les seconds des Oulad Aissa de l’ouest. Quelques familles provenant des Oulad El Arabi du sud de l’Atlas et des Beni-Yala se sont intégrées aux Oulad Aissa. Hebbal se divise en deux : faraji et hebbal , ils sont descendants d'une famille arabe qui a vécu avec le prophète Mohamed. les haddou fils de haddou et surtout leur grand pere nome "hadj madani" qui etait l'un parmi les grand comerçant de la rue el aouniya"trigue el aouniya" sont fils ainé c'etais" mohamed "et ses fils "lahcen" et "mustapha" ses neuveuax qui avais tous des locaux comerciaux il avaient meme leur propre boulangerie"farane"et leur mosquer qui reste a l'heur actuel et qui donnez de cours d'aprentissage de coran au musulmans de la rue. ils sont descendant du prophete "mohamed" alayhi eselem "chorfa" se sont ouled nehar les fils du celebre "wali" "sidi yahiya ben esefiya" sebdou regoin sud de tlemcen. site:"www.zaidnehar.ht.st "ils ont vecu a oujda plus d'un demi siecle. La population s’est diversifié sous le protectorat français en 1907 du fait de l’afflux constant d’individus venus de tout le Maroc oriental, d’Algérie mais aussi de Maroc occidental, de Fez, Casablanca, Marrakech et même de Sous.

La nouvelle ville

Oujda, chef-lieu de la préfecture d'Oujda-Angad et capitale de la Région de l'Oriental. Par sa position frontalière, à la croisée des voies de communication, elle est non seulement une ville phare de l'Oriental marocain mais aussi une ville de passage et surtout de brassage. Dans le cadre du nouveau découpage administratif, l'ex-Province d' Oujda, est devenue Wilaya d'Oujda, compte six provinces : Oujda-Angad, Berkane, Nador, Taourirt, Jérada et Figuig. La Wilaya d'Oujda s'étend sur une superficie de 20 700 km² à l'extrême Nord-Est du Royaume (2,9% du territoire national). La province d'Oujda est limitée à l'Est par la frontière maroco-algérienne, au Sud par la Province de Figuig, au Sud-Ouest par la Province de Boulemane, à l'Ouest par la Province de Taza et au Nord- Ouest par la Province de Nador. La situation géographique stratégique, de la ville d'Oujda, capitale de la Wilaya, est d'autant plus importante qu'elle lui permet de jouer un rôle dans la consolidation des liens inter-maghrébins et de constituer un carrefour entre les pays du Maghreb et d'Europe.

Population

La population de la Wilaya d'Oujda est estimée à 1 820 000 dont 42% en milieu rural avec un accroissement annuel de 2,4 % environ. La majorité de cette population se concentre dans les centres urbains, dans les plaines irriguées et le reste de la population se répartit avec des densités généralement faibles dans l'espace rural à activités agro-pastorales extensives.

Spécificités naturelles

Les paysages de la Wilaya d'Oujda sont nettement marqués par la diversité des unités de relief ; du Nord au Sud, on rencontre les principales unités suivantes : Plaines, on trouve La plaine de Triffa, verdoyante s'étend sur 60.000 ha environ avec une altitude moyenne de 200 m, en rive droite de la Moulouya, enserrée entre les monts des Béni-Snassen au Sud et les collines des Oulad Mansour au Nord, la séparant de la petite plaine côtière de Saïdia ; La Chaîne des Béni-Snassen, elle est formée de plusieurs massifs d'altitude remarquable culminant à 1532 m au sommet de Jbel Ras Foughal. Cette chaîne essentiellement calcaire est nettement morcelée par de nombreuses failles dont les principales sont empruntées par des cours d'eau encaissés, à travers des gorges et des escarpements abritant des grottes et des cavités karstiques en pleine forêt méditerranéenne ; Le couloir de Taourirt-Oujda, ensemble de plaines et de basses collines de forme allongée grossièrement Est-Ouest et resserré entre les monts des Béni-Snassen au Nord et la Chaîne des Horsts (monts de Jérada) au Sud ; La Chaîne de Jérada, ce sont des massifs regroupés en chaîne allongée Est-Ouest, localement vigoureux et séparés, par de larges couloirs et bassins déprimés. On y dénombre plusieurs sommets d'altitude comprise entre 1500 et 1700 m, souvent enneigés en hiver ; Les Hauts-Plateaux, c'est la plus vaste unité de relief du Maroc oriental. Ses secteurs les plus arrosés font partie de la wilaya d'Oujda. Ce sont des hautes plaines et plateaux steppiques mais aussi à couverture forestière exubérante dans son extrémité nord-ouest redressée dans le massif de Debdou-Mekkam à des altitudes comprises entre 1400 m et 1691 m.

Les plages

Saïdia, la perle bleu, est un grand espace touristique aux portes de l'Europe, située à 60 km au nord de la ville d’Oujda, Saïdia est l’une des plus belles stations balnéaires du nord marocain. Disposant d’une belle plage de sable fin de 14 km, elle bénéficie d’une image appréciable au niveau national et international. Cette image est rehaussée par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives. Un festival de la musique Gharnatie et des arts populaires y est organisé en juillet et août de chaque année. Dans le cadre du plan Azur que le gouvernement marocain a mis en place pour développer l'activité touristique du pays sous l'appellation vision 2010, un appel d'offre international a été lancé par le gouvernement du Maroc auquel ont pris part 13 sociétés et qui a été remporté par le groupe FADESA, un des principaux groupes immobiliers d'Espagne, qui s'est fixé comme objectif de faire de Saïdia une référence pour le tourisme international sur la Méditerranée.

Parcs et stations touristiques

Pas très loin de la médina, s'étend le parc Lalla Aïcha sur une superficie de 20 hectares environ. Créé en 1935, il constitue un lieu de détente pour les habitants d'Oujda. Il offre une belle aire de loisirs avec ses piscines, ses terrains de sports, ses clubs de tennis et d'équitation. L'oasis de Sidi Yahya se situe à 6 km seulement du centre ville Oujda. C’est un lieu de rencontre de plusieurs ethnies et diverses religions. Il abrite le mausolée du saint homme patron de la ville "Sidi Yahya Benyounes" ainsi que les tombes de plusieurs Saints. Tafoughalt, station d’altitude des beni Snassen. Ce petit centre se situe au cœur de la chaîne des Beni Snassen, à 18 km au Sud-ouest de Berkane (à 60 km nord d'Oujda). Initialement connu sous l’appellation d’Ain Tafoughalt, sur un site de roches calcaires riche en résurgences, Tafoughalt occupe un position stratégique, à une altitude d’environ 850 mètres, sur un col méridien long de 10 Km. Sidi Mâafa, C’est une petite forêt,veritable poumon de la ville, située à 4 km de la ville, où on peut profiter d'une belle promenade et escalader le jbel Alhamra. Le lieu offre une belle vue panoramique sur la ville et ses alentours.Des travaux concernant l'amélioration des voies et chemins de cette forêt ont commancé fin 2006.Le 7 Avril 2007 ce parc a été inauguré au grand plaisir des sportifs qui l'utilisent,des étudiants des diverses écoles avoisinantes et de la population Oujdie qui y trouve tranquilité et espaces verts. Tgafaït, située à 25 km au Sud-Ouest de la ville minière de Jérada, ce petit village mérite déjà le nom d'oasis grâce à la verdure de ses beaux jardins contrastant avec la steppe des alentours. Les cascades, les gorges et les sources de l'oued Za, principal affluent de la Moulouya, offrent un charme particulier au visiteur.

Personnalités nées à Oujda ou originaires d'Oujda

Abdelaziz Bouteflika, homme politique algérien (président de la république d'Algérie depuis le 15 avril 1999) ; Abderrahmane Zenati Né le 14 juillet 1943: Autodidacte. L'un des premiers artistes peintres marocains et écrivains de langue française. Il a publié de nombreux romans. Ahmed Osman, homme politique, Premier Ministre, Président du Parlement, Président fondateur du RNI Bayane BELAYACHI, Chanteuse et conservatrice du Gharnati (genre de musique Andalouse) . Développe actuellement au sein du conservatoire de Musique LA CICADA l'harmonisation du gharnati et son adaptation aux musiciens d'occident. Nuits de la Méditarannée Lotfi Yacoubi artiste peintre, Professeur d’arts plastiques ; Maurice Lévy, président du Directoire de Publicis Groupe ; Alain Perriod, artiste peintre ; Max Amphoux, éditeur producteur de disques ; Talbia Belhouari, politicienne et députée belge francophone ; Souad Razzouk, parlementaire bruxelloise ; Sfia Bouarfa , députée régionale bruxelloise ; Hamid Bouchenak , chanteur populaire très connu ; Fouad Laroui, écrivain romancier marocain, vit à Amsterdam ; Jean Molla, écrivain romancier français, vit à Poitiers (France) ; Younes Megri, chanteur populaire ; Malek, chanteur et compositeur très connu ; Abdelhafid Douzi, chanteur de Raï ; Abdelmalek Hebbal, Directeur technique national de la Fédération Royale Marocaine de Karaté (FRMK) Mohammed El Hila , ex Président de PHP Younes ElAinaoui ,tenisman
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